![\"Serge](\"http://lh5.ggpht.com/-YgXLOvJ-9ck/TimeLE17aWI/AAAAAAAALQI/0NioC_ydAkc/SERGE%252520KAKUDJI.jpg?imgmax=800\") Serge Kakudji, chanteur lyrique et contre-ténor congolais |
La troisième édition du festival des arts de la scène de Kinshasa, connu sous la dénomination «Plate forme contemporaine», se clôture dimanche 24 juillet. La cérémonie de clôture aura lieu au théâtre de la Verdure, au site Mont Ngaliema à Kinshasa.
Ce festival organisé par le théâtre royal flamand (KVS) a démarré vendredi 15 juillet, à la Halle de la Gombe.
Vingt-huit spectacles de danse, théâtre et musique ont été programmés ainsi que des conférences et ateliers avec des artistes venus de l’Afrique, de l’Europe et de l’Amérique.
Le spectacle programmé dimanche s’intitule «Coup fatal». C’est une création dirigée par le chanteur lyrique et contre-ténor congolais Serge Kakudji.
Il parle de ce spectacle au micro de Jean Marc Matwaki.
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Serge Kakudji, chanteur lyrique et contre-ténor congolais |
La troisième édition du festival des arts de la scène de Kinshasa, connu sous la dénomination «Plate forme contemporaine», se clôture dimanche 24 juillet. La cérémonie de clôture aura lieu au théâtre de la Verdure, au site Mont Ngaliema à Kinshasa.
Ce festival organisé par le théâtre royal flamand (KVS) a démarré vendredi 15 juillet, à la Halle de la Gombe.
Vingt-huit spectacles de danse, théâtre et musique ont été programmés ainsi que des conférences et ateliers avec des artistes venus de l’Afrique, de l’Europe et de l’Amérique.
Le spectacle programmé dimanche s’intitule «Coup fatal». C’est une création dirigée par le chanteur lyrique et contre-ténor congolais Serge Kakudji.
Il parle de ce spectacle au micro de Jean Marc Matwaki.
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Serge Kakudji, chanteur lyrique et contre-ténor congolais |
La troisième édition du festival des arts de la scène de Kinshasa, connu sous la dénomination «Plate forme contemporaine», se clôture dimanche 24 juillet. La cérémonie de clôture aura lieu au théâtre de la Verdure, au site Mont Ngaliema à Kinshasa.
Ce festival organisé par le théâtre royal flamand (KVS) a démarré vendredi 15 juillet, à la Halle de la Gombe.
Vingt-huit spectacles de danse, théâtre et musique ont été programmés ainsi que des conférences et ateliers avec des artistes venus de l’Afrique, de l’Europe et de l’Amérique.
Le spectacle programmé dimanche s’intitule «Coup fatal». C’est une création dirigée par le chanteur lyrique et contre-ténor congolais Serge Kakudji.
Il parle de ce spectacle au micro de Jean Marc Matwaki.
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Serge Kakudji, chanteur lyrique et contre-ténor congolais |
La troisième édition du festival des arts de la scène de Kinshasa, connu sous la dénomination «Plate forme contemporaine», se clôture dimanche 24 juillet. La cérémonie de clôture aura lieu au théâtre de la Verdure, au site Mont Ngaliema à Kinshasa.
Ce festival organisé par le théâtre royal flamand (KVS) a démarré vendredi 15 juillet, à la Halle de la Gombe.
Vingt-huit spectacles de danse, théâtre et musique ont été programmés ainsi que des conférences et ateliers avec des artistes venus de l’Afrique, de l’Europe et de l’Amérique.
Le spectacle programmé dimanche s’intitule «Coup fatal». C’est une création dirigée par le chanteur lyrique et contre-ténor congolais Serge Kakudji.
Il parle de ce spectacle au micro de Jean Marc Matwaki.
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Serge Kakudji, chanteur lyrique et contre-ténor congolais |
La troisième édition du festival des arts de la scène de Kinshasa, connu sous la dénomination «Plate forme contemporaine», se clôture dimanche 24 juillet. La cérémonie de clôture aura lieu au théâtre de la Verdure, au site Mont Ngaliema à Kinshasa.
Ce festival organisé par le théâtre royal flamand (KVS) a démarré vendredi 15 juillet, à la Halle de la Gombe.
Vingt-huit spectacles de danse, théâtre et musique ont été programmés ainsi que des conférences et ateliers avec des artistes venus de l’Afrique, de l’Europe et de l’Amérique.
Le spectacle programmé dimanche s’intitule «Coup fatal». C’est une création dirigée par le chanteur lyrique et contre-ténor congolais Serge Kakudji.
Il parle de ce spectacle au micro de Jean Marc Matwaki.